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Nouvelles et événements
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Atelier de papier fait main de la feuille à la sculpture
Une formation d'une semaine qui couvre un large panorama des possibilités plastiques du médium papier
Présentation de l'équipement et des rudiments pour la confection de la pâte de papier avec des fibres de coton, ou d’abaca, confection de feuilles, propriété des fibres, techniques de séchage, inclusions d’éléments, embossage, relief, modelage, moulage de la feuille et trempage pour la réalisation de projets 3D. Seront également abordé des notions de mise en espace, et de conservation.
Vos projets personnels sont bienvenus. La formatrice assure un suivi personnalisé auprès de chacun. Les participants repartiront avec une provision de feuilles de papier et des projets à réaliser.
Où : À l'atelier de Carole au 18 rue Marcotte, Deschambault, Québec, G0A 1S0
Quand : du 3 au 7 juillet ou du 17 au 21 juillet, de 9h00 à 12h00 et 13h00 à 16h00 et vendredi : 9 h à 12 h (27 heures)
Coût de la formation : 525 $ incluant matériaux + taxes applicables
Modalités d'inscription : Formation semi-privée 4 participants par groupe, s’inscrire avant le 3 juin auprès de Carole Baillargeon à baillargeonsaulnier@globetrotter.net ou au 418 286-6118. Paiement en 2 versements, soit 250$ (287,44 av txs) à la suite de la confirmation de la tenue de l'activité et 275$ (316,18$ av txs) au début du premier cours.
Requis par le participant : Une liste de matériel complémentaire sera suggérée lors de la confirmation de votre inscription.
Suggestions d’hébergement fournies sur demande
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Les effets secondaires, 2008 Folie culture,
Dans le cadre de l'appel de projets lancé par Folie Culture sous la thématique : Les effets secondaires, j'ai réalisé une intervention urbaine sur dix poteaux de rue, principalement situés sur la rue Christophe-Colmb est à Québec.
Ma réponse à cette thématique porte une réflexion personnelle sur l'état de travailolique (workaholic en anglais, Karoshi en japonais). Cette dépendance au travail peut être aussi forte que l'alcoolisme et dans sa forme extrême, elle peut mener à la mort par le surtravail.
Le bourreau de travail croit que tout irait bien mieux si tout le monde travaillait aussi dur que lui. Il veut donc changer le monde ! Il délègue peu et en ce sens, il développe une territorialité exclusive dans ses dossiers et son espace de travail.
Cet excès m'intéresse au plus au point, car je suis également une grande travailleuse. J'occupe un emploi à temps plus que plein, et j'essaie de rester active en tant qu'artiste. C'est donc une occasion de réfléchir sur ma situation, celle de plusieurs artistes et sur ce phénomène de société.
En bonne travailolique, j'étends ainsi ma territorialité entre mes deux occupations et je souhaite rien de moins que d'améliorer l'esthétique de la ville, car ce serait bien plus beau si chaque poteau était décoré. Ainsi parées, ces sentinelles urbaines feraient reculer la grisaille de nos installations de services publics.
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